Innovation
des technologies au service des méthodes
Récompensée pour son innovation dès sa création, l'entreprise Technodoc a toujours voulu se positionner en avance vis-à-vis des autres offres présentes sur le marché. Innovations technologiques mais surtout organisationnelles, l'acommpagnement reste dans tous les cas une priorité dans les prestations fournies.
Sans méthode, l'innovation n'est rien
Depuis maintenant presque 15 ans, Technodoc conseille ses partenaires en apportant son lot de nouvelles technologies. Première société à travailler sur des projets précurseurs sur différents axes : Installation de tablettes, déploiement de solutions 100% autonomes au sein d’un réseau permettant de maîtriser et piloter une installation industrielle, elle a toujours insisté sur le fait que l'innovation passe avant tout par les méthodes.
Ainsi, installer les ordinateurs les plus puissants, déployer les smartphones dernier cri, n'auront aucun impact si leur assimilation ne passe pas par des formations et l'instauration de nouveaux process. C'est pourquoi nos prestations de développement sont accompagnées de prestations de conseil en amont et de formation en aval. De cette manière, nous nous assurons que les outils déployés sont utilisés au mieux et donc que la seule marge d'erreur restante sera une mauvaise volonté et donc un problème d'engagement, intrinsèque à l'entreprise.
L’Usine 4.0 n’est pas une révolution technologique, mais…
La quatrième révolution industrielle se caractérise par l’introduction de nouvelles technologies au sein des processus de fabrication, gestion, logistique, maintenance, démantèlement. Considéré comme un nouvel eldorado, il convient toutefois de considérer prendre en compte qu’une vision réductionniste basée sur les technologies risque de ne pas produire un ROI élevé. Tous les processus sont concernés et doivent impérativement intégrer les parties prenantes, sous cette approche les échanges d’information prennent une nouvelle dimension.
Nous sommes dans l’ère de l’ultra connecté, Internet est partout et nous l’utilisons comme nous utilisons l’électricité. C’est devenu une véritable ressource qui semble acquise et inébranlable, prédiction d’un monde de plus en plus smart. Les ingénieurs issus de la génération Z n’ont pas connu le monde sans Internet, ceux-ci ne sortent jamais sans leurs smartphones, leurs tablettes, et sont dorénavant sur le marché du travail. Ces nouveaux décideurs deviennent donc les leviers à la mutation digitale. C’est avec eux que s’opère le passage à l’Usine 4.0, acteurs importants de cette transition programmée. Toutefois, il est illusoire de penser que cette rupture se décrète et que, de facto, le succès sera au rendez-vous. Véritable projet dans le projet, le Facteur Organisationnelle et Humain (FOH) est une composante de toute initiative digitale, les sciences humaines et sociales 4.0 sont à créer.
Les projets numériques 4.0 s’avèrent complexes. Or, toute direction ayant un management enclin à entrer dans l’ère de l’Usine 4.0 décidera rapidement, sous la pression de la compétition. Il est ainsi important d’analyser la conjonction organisation-méthode-homonuméricus afin de pouvoir réduire le plus de problèmes. Penser à remettre en question l’organisation, les méthodes, suivant une stratégie moyen-long terme, en intégrant communication et formation est essentiel. De nouveaux métiers sont à créer, celui de modérateur par exemple, fonction traitant des contrôles de données mais également des nouveaux supports comme les photos, vidéos, modèles 3D, la géolocalisation, etc.
Par ailleurs, il convient de souligner que les projets d’Usine 4.0 seront dans un premier temps des projets de transformation plus que de création. Les approches nouvelles devront pénétrer et intégrer les usines existantes afin de répondre aux enjeux de compétitivité. Nous serons alors confrontés à un mix technologique entraînant une nécessaire rupture méthodologique et parfois organisationnelle. Afin d’assurer ces évolutions de l’existant, il convient d’adopter une réelle politique de reprise de passif aussi bien en dématérialisant les contenus qu’en numérisant les infrastructures. Repenser la gestion de configuration, par exemple, comment exploiter le découpage topo-fonctionnel dans un nouveau modèle réalité augmentée et/ou réalité virtuelle ?
L’automatisation, la numérisation, apportent un grand volume de questions. Où est la bonne information ? Qui détient la responsabilité de cette information ? Autant de questions auxquelles il convient dorénavant de répondre en amont de la mise en place de ces projets.
